Tu as raison Christiane. Je suis en train de lire "A PIED A JERUSALEM, 184 jours, 184 visages); J'ai déjà lu aussi Pélérinage à St Jacques de Compostelle.
Je suis heureuse de voir comment ces gens se retrouve serein durant leur pélérinage. Ils sont seuls, face aux épreuves, aux bonheurs des rencontres et je crois que finalement lorsque l'on part seul, on prend le temps de comtempler les choses, de réaliser les vrais valeurs de la vie et de se rendre compte que finalement tous les hommes ne sont pas mauvais.
J'aimerai beaucoup pouvoir partir de cette façon, mais j'ai encore un petit de 11 ans et je me demande si d'ici quelques années j'aurai encore la force de vouloir entreprendre une telle démarche qui m'inspire je l'avoue.
Mais je ne me sens pas la force de laisser ma famille derrière moi, j'aurai l'impression de les abandonner.
Pour mes 50 ans, j'envisage peut-être un voyage seule afin de me retrouver avec moi-même, soit en pleine montagne ou dans un monastère je verrai mais je penche plus pour la montagne
face à l'immensité