Autrefois, au bout d'un an, la collectivité organisait une commémoration, et le deuil social de la personne pouvait se terminer.
Mais pendant toute une année, les gens avaient face aux endeuillés «une sorte de vigilance et de sympathie». La communauté s'organisait également, pendant cette période pour aider la personne à effectuer ses tâches quotidiennes.
«Il existait jadis des signes et des symboles pour dire qu'une personne était en deuil». Par exemple, le port de vêtements noirs. «Aujourd'hui, on ne sait plus quand ça commence et quand ça finit. L'espace-temps est très éclaté de ce côté là.»