Le deuil chez moi, c'est pleurer beaucoup les premiers jours, puis ça laisse la place à la tristesse et aux souvenirs.
Mais il me reste une accumulation de peines dues à plusieurs deuils rapprochés et à une sensation d'autres deuils très proches à venir.
Cela me conduit tout doucement à une espèce de dépression.
J'ai beau réagir et me secouer, travailler, me motiver, positiver, etc, à force de voir le malheur, la maladie et tous les gros problèmes qui se succèdent trop vite, c'est très dur.
Il faudrait un peu de répit entre les coups pour avoir le temps de recharger ses batteries!!